Tess a reçu un colis d’un tout nouveau partenaire « KUTI KUTI » que nous allons vous faire découvrir bien sûr.
Dans ce colis, pas de superflu, et oui pas de suremballage et une boîte en carton qui renferme «Bati, la lampe à construire», je vous avoue que cela a beaucoup éveillé notre curiosité.
Mais tout d’abord avant de vous en dire plus sur cette lampe, nous vous présentons qui se cache derrière « KUTI KUTI ».
Tout part d’une rencontre entre deux jeunes femmes en octobre 2016 au sein du fab lab parisien Villette Makerz. Pauline Arnaud est designer et Anna Affalo est fab lab manager, 2 femmes complémentaires qui vont donner naissance à Bati.
Pauline devient directrice de la création et responsable marketing et Anna devient-elle directrice des opérations et responsable produit.
KUTI KUTI est une marque qui propose des produits à fabriquer ensemble, c’est un moment de partage mais pas n’importe lequel, en effet, on va utiliser ses mains pour le construire mais également sa tête pour comprendre comment il marche.
La pédagogie de cette toute nouvelle société c’est d’éloigner les enfants des écrans (et oui dites-moi que vos enfants n’ont pas une tablette, une console, un téléphone ou une télévision….) en les aidant à mieux comprendre leur environnement.
Mais tout ça dans un esprit de prise de conscience écologique, en effet, tous les matériaux sont français et recyclés ou recyclables, pour ceux qui me connaissent, vous savez l’importance que je porte à cette optique.
Les pièces de quincaillerie et le plastique recyclé nécessaire pour le kit, l’assemblage et le conditionnement et enfin le lieu de fabrication de Bati, tout est très localisé dans la région parisienne, un produit français respectueux de l’environnement, j’adhère.
Mais Bati, c’est quoi ?
C’est tout d’abord le premier produit de KUTI KUTI et c’est donc un kit de bloc à assembler mais aussi à connecter soi-même pour qu’il puisse fonctionner et s’allumer. Dès 5 ans sans limite d’âge, on va découvrir le fonctionnement de l’électronique dans un premier temps pour ensuite pouvoir construire, assembler, dessiner et imaginer notre lampe.
Il existe plusieurs kits se composant de 2,3,4 ou 6 blocs, chaque bloc fait 8 cm, idéal pour la bonne prise en main des enfants, et il existe 4 formes différentes.
Tess a reçu un kit de 2 blocs, à l’ouverture du kit aucun plastique d’emballage, une notice en papier recyclé, alors la bravo, tout est vraiment éco-responsable, de l’emballage aux composants en passant par les explications.
Ce kit se compose donc de :
- du bloc Mama ou bloc d’alimentation,
- du bb bloc, le patron du bloc à assembler,
- d’une carte électronique,
- de crochets,
- de vis, de rondelles et d’écrous (en métal et en nylon),
- de fils électriques,
- de stickers,
- de la notice.
Tess s’installe donc et découvre la notice, elle prépare pour commencer les éléments nécessaires pour la connexion de l’électronique partie 1.
Elle commence donc par le montage des vis en nylon, les blanches, il y a des courtes et une longue, pour faciliter le montage des plus jeunes, les vis courtes sont représentées en rose claire sur le schéma de la notice et la longue en rose foncé, comme ça aucun doute possible, l’enfant est très bien guidé.
Tess suit donc la notice, elle dépose une rondelle sur la vis puis la positionne dans le trou sur le patron et dépose un écrou sur la vis qu’elle serre.
Pour la vis longue, pareil elle respecte la notice, sur celle-ci il faut placer 3 écrous supplémentaires car il faut placer la carte électronique où se trouve une led qui éclairera le bloc.
Les vis et écrous sont installés, Tess l’a fait seule, je n’étais pas loin en superviseur mais elle s’est très bien débrouillé.
Elle passe donc à la partie 2 avec le montage des vis en inox. Le schéma comme le premier va utiliser un système de couleur pour différencier le métal côté positif de celui négatif.
Le côté positif est en jaune, le négatif est en blanc, il en est de même pour les fils électriques. Tess assemble donc la vis et la rondelle puis la met dans le trou ensuite elle place la cosse du fil électrique et enfin l’écrou bien sûr en respectant l’ordre numéroté de 1 à 5 du schéma.
Sur cette page, on explique à l’enfant qu’il y a du nylon, une variété de plastique, et que celui-ci ne conduit pas l’électricité, contrairement à l’inox qui est un matériau conducteur qui amènera l’électricité jusqu’à la carte électronique et qui allumera donc la led, l’enfant apprend donc les bases de l’électricité :
- il faut un côté positif et un négatif,
- et que certaines matières permettent à l’électricité de passer, elles sont donc conductrices.
L’électricité terminée, Tess passe à l’assemblage, elle prend donc le 2e feuillet de la notice et continue.
Elle s’attaque donc au montage du bloc, il faut marquer les plis colorés en orange sur le schéma pour pouvoir refermer le bloc et ensuite glisser les petites languettes dans la fente correspondante, le schéma aide encore très bien l’enfant car chaque languette et fente sont colorées et numérotées.
Tess a formé son bloc je l’ai un peu aidé pour bien mettre les languettes dans les fentes mais pas plus. Ça y est les deux blocs peuvent être assemblés.
Elle prend donc le bloc d’alimentation et connecte le câble bleu pour l’allumer, ensuite elle positionne le bloc assemblé par ses soins dessus, il faut trouver la bonne position pour que l’électricité passe d’un bloc à l’autre.
Oh magie, les deux sont éclairés.
Une fois la position trouvée, on joint les deux blocs grâce aux crochets, il ne reste plus qu’à imaginer, dessiner grâce à un feutre effaçable ce que l’on souhaite sur la lampe, Tess a reçu la forme permettant de créer un lapin ou un crocodile, elle a opté pour le lapin.
Bien sûr, c’est effaçable donc on essuie et on recommence, notre lampe peut changer de dessin autant qu’on le souhaite, l’imaginaire n’a aucune limite.
Tess est ravie de sa réalisation, elle a travaillé la motricité fine, et appris ses premières connaissances en électricité et peut imaginer encore et encore, tout en étant respectueuse de l’environnement.
Ce kit est plus que génial, pas besoin de piles peu écologiques, le câble USB sur le bloc d’alimentation permet de recharger la lampe très facilement sur une prise avec adaptateur ou encore sur le PC, la charge est très rapide et depuis qu’elle a sa lampe dans sa chambre, elle l’utilise beaucoup et on ne la rechargé que 2 fois.
Elle peut bien sûr ajouter sur Bati autant de bloc qu’elle le souhaite, et je vous invite à consulter le site KUTI KUTI ou vous pourrez trouver le kit de votre choix.
Je tiens à remercier KUTI KUTI de leur confiance ainsi que le top des testeuses.
Photo de la lampe Kuti Kuti :
"Produit Reçu Gracieusement de la part de Bati"
Trop sympa pour les e fanrs fiers de l avoir fait eux même.
Oui c’est vraiment top tess a adoré
Absolument géniale.